Histoire de la marque française Malongo ?
L’histoire de Malongo débute en 1934 à Nice, lorsque Louis Malongo, alors torréfacteur artisanal, fonde sa propre entreprise de café. Dans les années 1950, la société change de propriétaire, mais conserve une orientation forte : proposer des cafés d’exception tout en défendant un modèle éthique. Très tôt, Malongo s’engage dans le commerce équitable, la torréfaction lente, l’agriculture biologique et la fabrication française de machines à café.
Aujourd’hui, la marque est considérée comme un pilier du café responsable en France. Elle soutient les petits producteurs du monde entier en leur garantissant des revenus justes et stables, et multiplie les actions sociales et écologiques. De nombreuses références sont certifiées AB (Agriculture Biologique) et/ou Fairtrade Max Havelaar, garantissant respect de l’environnement, traçabilité et rémunération équitable. Les grains sont cueillis à la main puis torréfiés lentement pour préserver leur richesse aromatique. Grâce à cet engagement, Malongo est devenue une marque emblématique du café éthique et haut de gamme, connue notamment pour ses dosettes compostables et sa machine EOH fabriquée en France.
Les dosettes Malongo sont-elles compostables ?
Oui. Les dosettes 1,2,3 Spresso sont 100 % compostables car fabriquées en fibres naturelles non traitées au chlore. Leur emballage carton est également recyclable.
Cette démarche s’inscrit dans un programme global de réduction de l’empreinte carbone : optimisation des processus, innovations écoresponsables et recherche continue de matériaux plus durables. Ces efforts ont d’ailleurs été récompensés par plusieurs prix.
Où est fabriquée la cafetière Malongo ?
La machine expresso EOH, conçue par les ingénieurs Malongo et dessinée par un designer français, est intégralement produite dans l’usine vendéenne de la marque. Elle bénéficie du label Origine France Garantie, preuve d’une fabrication nationale maîtrisée.
Où est torréfié le café Malongo ?
Même si les grains proviennent de pays producteurs, toute la transformation, torréfaction lente et conditionnement se fait en France, à Nice. Qu’il s’agisse d’un café moulu du Kenya, d’un Arabica du Mexique en dosette ou de grains de Colombie issus du commerce équitable, chaque référence passe par l’atelier niçois afin de garantir une qualité constante et un savoir-faire traditionnel.
